Shiya Nathley, agenouillez-vous donc!

Who am I? Race: Démon Sexe: ♀ Préférences: Bisexuelle (on ne crache sur rien) Rang: Reine démoniaque! (comment ça, on s'en fiche, je suis pas seule?) Spécialisation d'armes: X Arme possédée: X Pouvoir: Super Glue (dit Collage)

Shiya est une démone. Pourtant, d'un point de vue externe, peu d'indications sur cela: pas de cornes, pas de queue, pas de griffes ou d’appendice quelconque. Elle possède simplement des cheveux roses. Et les humains n'ont pas de problème pour avoir les cheveux colorés, naturellement ou pas, alors ça ne compte pas vraiment.
Ces cheveux, donc, sont plutôt long: ils lui arrivent au creux des reins quand ils sont détachés et lisses -oui, lisses, en général ça tourbillonne un peu partout-. Des mèches folles qui volent de-ci de-là, ombrageant soigneusement ses yeux bleus. Ou gris. Un bleu-gris, en fait.

La démone est grande, très grande. Le pire c'est qu'elle adore mettre des talons hauts, histoire de se donner un peu plus de hauteur. Certainement une histoire de supériorité sur les autres à évacuer, ou quelque chose dans le genre. Elle aime embêter les autres avec ça. Trop, au goût de certain...
Physiquement, elle est donc élancée, bras et jambes interminables, le ventre plat et un poids assez léger pour voler de l'autre côté du château d'une accolade démoniaque un peu trop poussée. Heureusement qu'elle sait comment se raccrocher, maintenant...

Le détail inratable est certainement sa poitrine, qui possède une volume très agréable pour ses comparses masculins -en général-. Oh, elle en est fière, la démone, de ces seins, elle en joue même. C'est que c'est extrêmement utile, de dérouter les autres, et d'accaparer leur attention là où elle le souhaite. Pauvres démons... Mais, avouons-le. Ce n'est pas facile tout les jours, ça lui donne un mal de dos pas possible ponctuellement, ça l'empêche de choper les vêtements ô-combien-joli-mais-argh-mon-ventre-dépasse-!, et il y a des moments où quand on ne lui fait pas attention -les yeux, les yeux!-, elle n'a qu'une envie: éclater joyeusement l'impertinent.



Oh, c'est une peste.
Il y a ces airs de faux semblants, ce masque soigneusement préparé pour vous faire tourner la tête. C'est une démone, et pourtant l'expression « d'avoir l'air d'un ange » manque de passer les lèvres de ceux qui la croisent -ou du moins, pour la première fois. Il y a ce sourire amical, ces gestes doux, le son cristallin de son rire. Mais derrière, les yeux brûlent d'envies insatiables, elle se languit de vous tromper comme elle le désire. Et lorsque tombe fatalement la réalité, douloureuse et impossible à vos yeux, la voilà qui se rit de vous, et les notes claires de sa voix sont d'autant de lames qui vous transpercent.

Elle aime jouer, et se contente à merveille de cette activité. Elle trompe, elle embête, elle sourit et elle grogne, aussi vive qu'une anguille, mais aussi collante qu'une mouche. Bien que sur ce dernier point, elle n'est pas du genre à utiliser son pouvoir sur autrui si elle est comprise dedans -non, non, vous collez tout seul au plafond en attendant de voir quand vous allez vous décoller, et comment vous allez atterrir, c'est bien plus agréable. Surtout que le hasard joue beaucoup: elle n'a aucune maîtrise sur son temps de collage, ou si peu. Ni sur la puissance. En fait, elle est dans l'expérimentation éternelle.
Et, mauvaise nouvelle: les autres sont ses cobayes.

Shiya est semblable à un enfant capricieux, elle veut jouer, puis elle se lasse, laisse tomber ses activités actuelles pour de nouvelles. Elle veut toujours plus, en allant toujours plus haut, faire ce qu'elle souhaite quand elle le souhaite.
Bonne pioche, on n'embête généralement pas trop les souverains.
Lunatique, elle est du genre à roucouler près de vous avant de vous en coller une pour un regard glissant mal placé. L'image typique d'une personne qui vous enlace pour mieux vous planter un poignard dans le dos.

Elle est susceptible, et apprécie encore moins qu'on le lui relève. Impulsive, elle ne réfléchit que peu, et trop souvent après coup. Elle se laisse porter par ses pulsions, les assouvit sans le moindre état d'âme -comment ça, ce sbire n'avait rien fait? Eh bien, maintenant, s'il le fait, il saura ce qui l'attend!-.

Il y a ces talons qui claquent, cette démarche assurée et féline, la confiance qui suinte à l'état pur. Elle aime l'action, elle veut du sang, se délecter de gémissements de douleur comme de plaisir, instaurer le respect chez ses semblables et être traitée avec soin.
Seul le travail de bureau l'exaspère, elle se lasse rapidement, les chiffres lui tournant la tête jusqu'à ce qu'elle en ait la nausée. Puis elle explose, boucle le tout en des mesures moins réfléchies qu'elles ne devraient l'être, laissant avec joie à ses coéquipiers la chance de jeter un coup d’œil derrière elle.
Vraiment, elle préfère voir de ses propres yeux ce qui se passe, plutôt que de se référer à des pattes de mouches sur un papier trop blanc pour ses pauvres yeux fatigués. Alors elle se balade régulièrement dans son territoire, à l'affût de tout comme de rien.

Et les murmures qui ponctuent son passage l'enorgueillissent encore plus.



Shiya est née dans cette ville grouillante qui s'étale aux pieds du château.
Elle était fille unique, un enfant trop choyée par des parents béats devant ses grands yeux. Elle s'était souvent dit, après coup, que pour des démons ses géniteurs étaient plutôt gagas. Avant de se rendre compte, au cours de multiples voyages entre différentes villes démoniaques, que les démons étaient sûrement la race la plus gaga de toutes.

Ils étaient tout deux sbires, et elle vécut dans les au revoir et les attentes, les regardant prendre le chemin sinueux menant au château et revenir tard le soir -ou carrément plusieurs jours après-. Souvent absents, ils la laissèrent donc dans une sorte de garderie pour petits démons, où ils apprenaient les bases rudimentaires de la vie, la joie des combats et l'ennui des réprimandes. Un endroit plein d'autres gens, où Shiya allait pouvoir être entourée, vénérée, choyée comme elle devait l'être. Ça lui plut.

Ce fut là-bas qu'elle les rencontra, aussi. Ceux qui allaient devenir ses compagnons.
Oh, ils ne s'étaient pas aimés du premier regard. Le goût de boue et de poussière était plutôt ce qui définissait leur relation... Toujours à se chamailler, à hurler à qui mieux mieux, à écraser l'autre. Ils ne l'avaient pas encore compris, mais chacun d'eux étaient fait pour diriger, et c'était pourquoi ils s'énervaient mutuellement: un autre chef? Plutôt le faire crever, oui!
Ils se perdirent de vue en grandissant.

De son côté, Shiya perfectionnait avec plus ou moins de facilité et d'habilité sa maîtrise de son pouvoir, découvert avec joie à l'adolescence. Elle était plutôt bonne au combat, et son corps prenait définitivement des rondeurs qui n'étaient pas pour lui déplaire. Mieux encore, le pongatier planté à sa naissance dans le jardin donnait ses premiers fruits, et elle s'en régala avec délectation!
Lorsque arriva l'année de ses seize ans, incident tragique: ses parents moururent. Une énième attaque contre les humains, paraissait-il. Son deuil dura un bon moment, jusqu'à ce que sa tristesse se transforme en volonté et que cette volonté écarta le brouillard dans lequel elle était plongé. La lumière se fit, et elle se remit à s'entraîner, encore plus consciencieusement, pas par envie de vengeance mais pas devoir envers ceux qui l'avait mis au monde, et le désir de vouloir protéger pour être acclamée en retour. Elle repartit dans son train de vie habituel, le sourire aux lèvres et l'éclat de malice dans les yeux, le souvenir de ses parents soigneusement gardé dans son cœur.

Puis vint le jour fatidique où, après un boulot ingrat comme tant d'autres -son dos la lançait, et elle avait failli envoyer son poing dans la figure d'un démon qui louchait trop à son goût-, elle alla se reposer dans un bar. Ç’avait été une mauvaise journée en plus, deux de ses partenaires sexuels ayant trouvé une démone ou un démon à leur goût l'avaient ainsi lâchée et elle manquait vraiment trop d'action.
Bon vouloir du destin ou coïncidence, toujours fut-il qu'elle se retrouva nez-à-nez avec eux. Ils avaient grandit, comme elle, avaient acquit de la puissance, comme elle, et semblaient avoir eu une magnifique journée, comme elle.

Un délicieux alcool à base de ponga aida à briser la glace, et les retrouvailles furent joyeuses et promesses d'avenir radieux.

Ils se retrouvèrent devant le château démoniaque le lendemain, la tête encore énorme et douloureuse, les idées pas forcément totalement clairs, l’adrénaline pulsant dans leurs veines et le désir de sang.
Shiya ne s'était jamais autant amusée de sa vie.
Ils avaient méticuleusement écrasés ceux qui se dressaient en travers de leur chemin, explosant des centaines de sbires et se confrontant à la puissance reconnue des As. Ils furent définitivement bien accueillis, et s'empressèrent de retourner l'attention. Lorsque la Puissance finit par mettre un genou à terre devant eux, ce fut l'extase totale -on prit soin de ne pas dire à tout va que leurs jambes tremblaient tellement qu'ils manquaient de s'étaler peu dignement à chaque pas, que leurs pouvoirs avaient eu la fameuse manie de les abandonner aux moments cruciaux, et qu'ils avaient ruser à plus d'une fois-.
La couronne se posa sur leurs têtes folles, et Shiya sut que c'était vraiment la place où elle devait être.

Elle était tout en haut, pouvait contrôler ce qui se passait, protéger, attaquer, agir selon ses envies, voir les yeux envieux sur son passage et entendre des acclamations tant attendues. C'était le pied, et elle comptait bien en profiter.

Mais derrière les pongas, il y a...

Pseudo: Zyloa Sexe: Féminin, je crois. Age: Disons, bientôt majeure! 8D (17. C'est bon, hein.) As-tu lu le règlement?: J'l'ai écrit, nuance. Comment es-tu arrivé ici? : Par moi-même \o/ Une idée pour améliorer le forum?: Rameuter des croqueurs! Oui! Un petit mot?: Je t'aime, mon bébé de forum!

Bienvenue si j'ose dire ? XD

Oooh tu sais que j'aime les personnages avec une belle poitrine ? *BAM*
J'attends la suite :D

Très bien très bien, tout ça tout ça, bref, je m'auto-valide avec joie! 8D